TFGA n°15 : Oui, encore un top 2015

Bon je vous l’accorde, on est début 2016 et je vous embête encore avec un top récapitulatif. Sauf que là c’est pour la bonne cause : le TFGA de Alex Effect. Comme j’ai déjà fait les Coffee Quest Awards 2015 sur le blog, ce TFGA n°15 qui a pour sujet « Les jeux vidéo de votre 2015 » va me servir pour parler des autres jeux que j’ai fait l’année dernière mais qui ne sont pas sortis l’année dernière. Donc je triche sans vraiment tricher mais je suis sûr que vous ne m’en tiendrez pas rigueur, les CQA et le TFGA étant pour le coup complémentaires.

Bound By Flame

C’est le premier jeu que je fais du studio Français Spider et c’est plutôt une bonne surprise. Loin des open world caractérisant actuellement le genre, Bound by Flame est lui un RPG couloir. Tout n’est pas parfait, tant dans la technique, dans le gameplay que dans l’écriture mais il fait pourtant le job qu’on lui demande et on ne s’ennuie jamais. Il est même plutôt inspiré artistiquement et dégage quelques idées qui font mouche tant dans les combats que dans son univers classique de Dark Fantasy. Puis selon nos choix, le personnage évolue physiquement comme à l’époque du premier Fable et ça j’adore. Je donne la notion encouragement et j’attends de voir les prochains jeux du studio.

Shovel Knight

Shovel Knight c’est une lettre d’amour à l’époque 8 bits, empruntant le meilleur aux jeux de l’époque tout en le sublimant. Megaman, DuckTales, Castlevania, Super Mario Bros 3, Zelda 2… tout y passe. J’aime tellement que je l’ai acheté sur PC à l’époque, sur PS4 en boite et même le amiibo du personnage pour habiller mon étagère avec classe. J’ai pas grand chose à dire d’autre mise à part sautez dessus. Vous ne le regretterez pas.

The Evil Within

Je ne suis pas ultra fan des jeux d’horreur mais je dois bien avouer que j’ai pris réellement mon pied sur The Evil Within. Dans la peau de l’inspecteur Castellanos, j’ai ressenti un malaise quasi permanent à arpenter l’univers malsain et torturé mais toujours maîtrisé du jeu. Les nombreux ennemis invincibles qui sont souvent synonyme de mort instantané m’ont foutu un stress monstrueux me forçant souvent à courir dans tout les sens tout en réfléchissant à comment passer la zone. Le jeu possède d’ailleurs un vrai challenge pour le peu que l’on ne joue pas en mode facile et on peut très vite tomber rapidement à court de munition. Un vrai coup de cœur et j’espère avoir une suite un jour.

Sunset Overdrive

Sunset Overdrive fut mon bonbon acidulé quand j’avais besoin de mettre mon esprit sur off, mélange improbable mais réussi entre Dead Rising et Jet Set Radio. Couleur pop, explosion dans tous les sens, armes improbables mais tellement jouissives, gameplay évolutif, blagues potaches et références assumées à une bonne partie de culture geek le tout sur fond de musique spécial skater des année 90, c’est ça Sunset Overdrive. Le fun à l’état pur  injustement boudé par les joueurs.

Dragon Age Inquisition

Bioware fait partie des rares studios par lequel je n’ai jamais été déçu, même avec le pourtant décrié Dragon Age II.  Ce troisième épisode de la saga ne déroge pas à la règle et est tout simplement le jeu sur lequel j’ai passé le plus de temps sur cette génération de console. Des heures durant, j’ai parcouru le jeu, suivant avec intérêt l’épopée de mon personnage, cherchant le moindre lien et répercutions de mes choix sur les deux premiers volets, alimentant ma relation avec ma love interest Cassandra ou encore aller à la chasse des différents dragons sires. Même les quêtes fedex à foison et souvent inintéressantes n’ont pas eu raison de mon bonheur à retrouver l’univers de Dragon Age. Un grand jeu.